Côté d’un cabinet japonais « namban », fin du XVIème siècle ou début du XVIIème siècle, (époque De Momoyama). La surface laquée noire (urushi), à décor en poudre d’or (maki-e) et de nacre (raden) est recouverte d’ un vernis ancien européen, jauni et chanci, (microfissuration du vernis) qui altère la lisibilité de l’œuvre. L’image met en évidence l’allègement en cours de ce vernis à l’aide de solvants appropriés respectueux du laque ancien.